Le rapport d’Amnesty International qui affirme que le téléphone du journaliste marocain, a été piraté par les autorités marocaines, ce ne sont là que de simples « Allégations » d’Amnesty International sans preuves tangibles ni fondementr les autorités du royaume a été repris par plusieurs titres de la presse internationale. Sauf que pous. D’ailleurs, le gouvernement marocain a « réfuté catégoriquement les allégations infondées » d’Amnesty International. Une drôle de coïncidence qui fait penser « à une véritable opération de déstabilisation diplomatico-médiatique qui a visé le Maroc », souligne une source bien informée à Rabat. La même source ajoute que dans cette affaire, le royaume s’est retrouvé au centre d’une guéguerre entre groupements économiques autour de la commercialisation d’équipements utilisés dans les renseignements.