Il est désormais admis que la maladie d’Alzheimer est d’origine multi-factorielle. Il n’y a pas une cause unique mais plusieurs : facteurs de risque cardiovasculaires, facteurs de risques génétiques, facteurs environnementaux.
Pour autant, les chercheurs sont de plus en plus persuadés que prévenir des facteurs environnementaux de type nutritionnels pourraient retarder le risque de développer une maladie d’Alzheimer.
Une bonne nutrition, notamment, fait partie des moyens de diminuer les facteurs de risques cardio-vasculaires tels que l’hypercholestérolémie, du diabète ou encore de l’obésité. Des interventions nutritionnelles, grâce à une alimentation adaptée, auront un impact sur le développement ou non de la maladie d’Alzheimer plusieurs décennies plus tard.
Grâce au bon contrôle des facteurs de risque vasculaires (prise en charge de l’hypertension, prise en charge du cholestérol, du diabète et du surpoids) le monde compte moins de personnes malades qu’attendues.
Selon une étude menée par des chercheurs de l'Université de Cambridge, il y aurait trois variantes distinctes du covid-19, actuellement en circulation dans le monde. Le virus mute et ces mutations multiples auraient donné naissance à trois types distincts recensés, appelés types A, B et C. Le premier concerne le virus d'origine qui se serait transmis via les animaux. Le second est une première variation qui aurait été observée en Europe, notamment au Royaume-Uni. La troisième souche se propagerait également en Europe via Singapour
Le fait qu'un virus mute en permanence n'a rien d'exceptionnel. Pour ces scientifiques britanniques, le nouveau coronavirus essaierait de vaincre la résistance du système immunitaire des populations via ces mutations