Il est désormais admis que la maladie d’Alzheimer est d’origine multi-factorielle. Il n’y a pas une cause unique mais plusieurs : facteurs de risque cardiovasculaires, facteurs de risques génétiques, facteurs environnementaux.
Pour autant, les chercheurs sont de plus en plus persuadés que prévenir des facteurs environnementaux de type nutritionnels pourraient retarder le risque de développer une maladie d’Alzheimer.
Une bonne nutrition, notamment, fait partie des moyens de diminuer les facteurs de risques cardio-vasculaires tels que l’hypercholestérolémie, du diabète ou encore de l’obésité. Des interventions nutritionnelles, grâce à une alimentation adaptée, auront un impact sur le développement ou non de la maladie d’Alzheimer plusieurs décennies plus tard.
Grâce au bon contrôle des facteurs de risque vasculaires (prise en charge de l’hypertension, prise en charge du cholestérol, du diabète et du surpoids) le monde compte moins de personnes malades qu’attendues.
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Médical