écédent (dont les premières victimes sont les agriculteurs, les pêcheurs et leurs familles), inégalités de la répartition et de l’accès aux ressources, infertilité humaine, destruction du lien social entre les individus, communautc’est à dire toute la chaîne agriculture – stockages – industrialisation – transports – distribution et l’acte de cuisiner, nous constatons que notre assiette est le résultat d’un système technique, économique, social, politique que l’on appelle « mondialisation néolibérale », et qui nous conduit à des impasses : Impasse environnementale : pollution de l’air, des océans et des sols ; destruction de l’environnement (dont les terres agricoles) et de ses écosystèmes ; épuisement des ressources (telles que l’eau, les forêts ou les réserves d’hydrocarbures,…). Impasse sociale : crise alimentaire sans prés ou groupes, etc. La crise mondiale n’est pas un problème technique mais un problème politique. Les enjeux environnementaux et sociétaux de notre modèle alimentaire nous obligent à réfléchir de manière critique en terme de propositions d’un nouveau modèle sociétal : quel rapport à l’économie, quel rapport à la nature et à notre environnement, quel rapport à la technique et au progrès, quel lien avec les producteurs, quel rapport à notre santé.
Si nous analysons la façon dont nos aliments sont produits,
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